Le train filait par la nuit, ses roues d’acier glissant sur les rails avec un vacarme presque irréel. Aucun panneau, aucune sorte de paysage rencontre ne défilait par la fenêtre, tels que si la locomotive traversait une sphère suspendu entre le réel et l’inconnu. Le passager sentit le wagon vibrer https://andersonmjaob.bloggip.com/33958513/les-numéros-du-destin