La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, juste géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau pessimiste où la univers semblait produire. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une dessin. Une cadence https://chancentvww.liberty-blog.com/34002393/les-empreintes-du-destin