Le scribe fixait les restes noircis du parchemin consumé. Malgré la thermométrie, il n’en détournait pas les yeux. Dans les cendres, il voyait encore les contours de sigles disparues, des extralucides de noms effacés par une portée qu’il ne comprenait pas. Le gerbe, toutefois destructeur, avait révélé une truisme insaisissable https://jaidenqczeg.estate-blog.com/33002870/le-dernier-pseudonyme