Le grimoire d’ivoire reposait devant lui, silencieux et permanent, mais il n’était plus vide. Les lettres malheureuses qui avaient émergé à le support de la thématique portaient une lourdeur indiscernable, tels que si elles s’accrochaient à l’air à proximité d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est perçu. https://emiliokpmie.daneblogger.com/32892903/l-empreinte-des-lignes