La jungle maya s’étendait marqué par un ciel d’obsidienne, où seules quatre ou cinq étoiles perçaient l’épais feuillage des arbres centenaires. Au cœur de cette végétation luxuriante, une ville ultimatif se dressait, ses temples de pierre dominant la canopée tels que des veilleurs silencieux. Les torches brillaient faiblement le long https://walesz221tjy9.losblogos.com/profile